Eric Strecki, ancien Directeur technique national de l'escrime française et champion olympique en 1992, détaille les principales règles de l'épée."C'est l'arme de duel."
Il n'y a pas de convention à respecter, pas de priorité donnée à l'attaque. La seule vérité, c'est d'allumer la lampe pour marquer un point et si les deux adversaires allument la lampe dans le même vingtième de seconde, chacun marque un point", explique-t-il.
"Contrairement au fleuret et au sabre, où l'attaque est une évidence puisque ne pas attaquer est prendre un risque en laissant cette initiative à l'adversaire, à l'épée l'attaque est une vraie prise de risque, puisqu'on se découvre tout
Pour Srecki, un bon épéiste se caractérise par des qualités "d'endurance et d'explosivité". "Pour être épéiste, il vaut mieux être grand, avoir les bras longs et savoir être patient. Car même si on attaque peu, au moment où on le fait, il faut le faire très vite pour surprendre l'adversaire", conclut-il.
Cité par 'Le Monde'.
Il n'y a pas de convention à respecter, pas de priorité donnée à l'attaque. La seule vérité, c'est d'allumer la lampe pour marquer un point et si les deux adversaires allument la lampe dans le même vingtième de seconde, chacun marque un point", explique-t-il.
"Contrairement au fleuret et au sabre, où l'attaque est une évidence puisque ne pas attaquer est prendre un risque en laissant cette initiative à l'adversaire, à l'épée l'attaque est une vraie prise de risque, puisqu'on se découvre tout
Pour Srecki, un bon épéiste se caractérise par des qualités "d'endurance et d'explosivité". "Pour être épéiste, il vaut mieux être grand, avoir les bras longs et savoir être patient. Car même si on attaque peu, au moment où on le fait, il faut le faire très vite pour surprendre l'adversaire", conclut-il.
Cité par 'Le Monde'.